Musiques contemporaines

 

Dans la continuité : le postsérialisme

S’inscrivant dans la suite logique de la théorie énoncée par Arnold Schoenberg qui prônait l’égalité des douze sons de l’échelle sonore occidentale, des compositeurs ont appliqué ce principe à tous les paramètres de la musique : la hauteur, la durée, le timbre, l’attaque, l’intensité, etc.

Ce mode d’écriture, excluant le principe de la répétition, crée un cadre très strict dans lequel l’art consiste à dépasser des limites librement consenties.

  • ES8021 (réf. Médiathèque) : Threni (1958) Igor Stravinsky

  • FB2048 : Sonate(1952) Jean Barraqué

 



 

 

L’intervention du hasard : la forme ouverte

 

Le compositeur établit un cadre dans lequel les interprètes ont la liberté d’organiser eux-mêmes certaines séquences musicales plus ou moins préétablies. L’oeuvre est infiniment "recréée" ; l’interprète prend une part importante au processus de création, le compositeur n’a plus l’entier contrôle du résultat final. La forme ouverte fait appel à l’improvisation.

  • FB7457 : Sonate n°3 (1957) Pierre Boulez

  • FS7393 : Klavierstücke n°11” (1957) Karlheinz Stockhausen

  • FL9112 : 3 Poèmes de Michaux (1963) Witold Lutoslawski

  • FC0563 : Music of Changes(1951) John Cage

 





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