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: CD, vidéos, cédéroms, DVD, musicassettes.
Travers-sons paraît tous les
20 du mois.
Les actualités de cette page sont mises à jour le mardi et le
vendredi.
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Notre choix : Salonen |
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Saviez-vous que Esa-Pekka Salonen se
destinait à la composition avant de devenir, un peu malgré lui,
un des meilleurs chefs d'orchestre actuels ? Cet enregistrement
est l'occasion de découvrir quelques-unes de ses compositions.
LA variations est dédiée à l'Orchestre Philharmonique de Los
Angeles. À ce titre, on y entend l'influence des compositeurs
américains, en particulier celle de Leonard Bernstein. Les Cinq
images pour soprano et orchestre de chambre mettent en musique
des textes de la poétesse Sappho. L'usage de modes et la
concision de la forme évoquent les mélodies de Maurice Ravel et
le néo-classicisme.
Suite du
commentaire d'Anne Genette
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Goubaïdoulina à Wavre |
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La plupart des compositions de
Goubaïdoulina ont une dimension extramusicale : un poème
mis en musique ou bien caché entre les lignes, un rituel ou
bien encore une sorte « d’action » instrumentale. Certaines
de ses partitions témoignent de son intérêt pour des idées
mystiques ou pour le symbolisme chrétien.
De profundis (1978) est une œuvre en un
mouvement pour bayan (accordéon à boutons avec soufflet et
quantité de registres que le joueur actionne et stoppe avec
le menton). De profundis se réfère à la version
latine du Psaume 130 « Des profondeurs je crie vers Toi,
Seigneur ».
Wavre, Salle Columban, Louvranges,
le 22 septembre à 17 heures
Notre dossier
Festival de Wallonie
Le site du Festival de Wallonie
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Elektra à La Monnaie |
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Elektra marque
la plus grande avancée
de
Richard Strauss dans la musique moderne. Le musicien écrit
ici sa partition la plus audacieuse (avec des passages allant de
la polytonalité à l’atonalité) et sans doute la plus dramatique.
Car l’opéra, dont l’action s’intensifie dans un crescendo
habilement construit est d’une violence démesurée. Strauss avouait
lui-même qu’Elektra représentait « l’extrême limite de la capacité
d’audition des oreilles d’aujourd’hui [1909] ».
La
Monnaie, du 17 septembre au 6 octobre 2002
Une introduction à Elektra.
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Bryn
Terfel |
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«Ce baryton
basse étonnamment doué semble capable de rendre magique tout
ce qu'il chante...» Gramophone, novembre 1995. Depuis,
Bryn Terfel est devenu
l'une des plus brillantes étoiles du firmament du monde
lyrique. Dans un agenda très chargé, le chanteur fait un
arrêt au Palais des Beaux-arts de Bruxelles où il donnera un
généreux récital où figurent les noms de Schubert, Schumann,
Ibert et Finzi. Comme à son habitude, Terfel terminera sa
prestation avec quelques chansons de son terroir natal, le
Pays de Galles.
Bruxelles, PBA, le lundi 23 septembre
à 20 heures
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