Édition du 11 octobre 2002

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Notre choix : Graupner

Exact contemporain de Jean-Sébastien Bach, Christoph Graupner est originaire de Saxe et fait ses études à Leipzig. Il y rencontre Telemann, Heinichen et Fasch. Après quelques années où il produit, entre autres, des opéra pour Hambourg, il accepte le poste de Maître de Chapelle de la cour de Hesse-Darmstadt. Il consacrera une grande part de son activité de compositeur à la musique instrumentale à travers les formes les plus prisées à l'époque. Le présent enregistrement se présente comme une sélection des diverses facettes de son art.

Suite du commentaire de Pierre Watillon

Ainsi soient-elles : on ferme !

Programme festif pour le concert de clôture du Festival de Wallonie 2002. L'Aula Magna de Louvain-la-Neuve accueille l'Orchestre National de Lille placé sous la direction de Matthias Bamert qui accompagnera deux jeunes brillant pianistes Claire-Marie Le Guay et Nicholas Angelich dans un programme trop rarement joué : le Concerto pour deux pianos de Francis Poulenc et le Concerto n°10 pour deux piano K.365 de Mozart. Si la présence du couple Pelléas et Mélisande dans la version de Gabriel Fauré est attendue dans un festival consacré aux figures féminines de la musique, celle de la Suite pour orchestre tiré de l'opéra Tsar Saltan de Rimski-Korsakov l'est nettement moins. Connue seulement pour le célébrissime Vol du bourdon, cette partition très symphonique, malgré le fait qu'elle provient d'une oeuvre chantée, possède une grande originalité dans le traitement de l'orchestre chargé de traduire le surnaturel et le fantastique du conte musical.

Louvain-la-Neuve, Aula Magna, le lundi 14 octobre à 20 heures


Des tableaux à la loupe

Le principe de cette séance du mercredi est simple : il s'agit d'écouter plusieurs versions enregistrées sur CD d'une même oeuvre, qui, bien sûr, peut être entendue "en vrai" lors du concert de l'Orchestre Philharmonique de Liège du vendredi soir suivant. Ainsi, on approfondit sa connaissance de la musique, on perçoit mieux le rôle majeur des "interprètes", et on aiguise son oreille ! Cette fois, ce sont les célébrissimes Tableaux d'une exposition dans la version Moussorgski/Ravel.

Liège, Salle Philharmonique,
La comparaison des CD le mercredi 9 octobre à 18 heures
Le concert le vendredi 11 octobre à 20 heures

La Mer

Debussy, tout fils de marin qu'il était, avouait que la vue de l'océan le fascinait au point de paralyser en lui le créateur. Et c'est sans doute pour cela qu'il esquissa La Mer en... Bourgogne. Même si la partition porte le sous-titre de Trois esquisses symphoniques, nous sommes bien en présence d'une symphonie. La Mer, la plus grande oeuvre orchestrale qu'ait écrit Debussy, est un vaste paysage marin, orchestré avec recherche et raffinement. Cette oeuvre sera donnée par l'Orchestre National de Belgique et son jeune directeur musical, Mikko Frank. En complément de programme, Elisabeth Leonskaya jouera le Concerto pour piano et orchestre n°2 de Johannes Brahms.

Bruxelles, PBA, le vendredi 11 octobre à 20 heures
Waregem, le samedi 12 octobre à 20 heures
Bruxelles, PBA, le dimanche 13 octobre à 15 heures

 

 

Regards sur Elektra

Elektra marque la plus grande avancée de Richard Strauss dans la musique moderne. Le musicien écrit ici sa partition la plus audacieuse (avec des passages allant de la polytonalité à l’atonalité) et sans doute la plus dramatique. Car l’opéra, dont l’action s’intensifie dans un crescendo habilement construit, est d’une violence démesurée. Strauss avouait lui-même qu’Elektra représentait « l’extrême limite de la capacité d’audition des oreilles d’aujourd’hui [1909] ».

Une introduction à Elektra.

 

 

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