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Notre choix : Purcell |
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Au lendemain d'une période très troublée
de l'histoire d'Angleterre, la paix revient enfin et,
sur le plan de la musique liturgique, les compositeurs
retrouvent une activité plus régulière.
Membre de la Chapelle Royale depuis sa tendre enfance,
Henry Purcell assimila toute la riche tradition polyphonique
insulaire et s'imposa à son tour comme un des maîtres
de la musique religieuse en son pays. Dans les anthems,
il réalise une synthèse particulièrement
brillante des procédés d'écriture
utilisés dans ce type de composition et les pages
qu'il a laissées en ce domaine sont d'une beauté
et d'une élévation de pensée impressionnantes.
Suite
du commentaire de Pierre Watillon |
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L'élixir d'amour à l'ORW |
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Avec
L'Elisir d'amore,
Donizetti s'affirme comme le continuateur de Rossini et
prend la relève de ce dernier dans le domaine de l'opéra
bouffa. Le philtre d'amour est un mélange de vieilles
recettes relevant de la comédie. En revanche, la description
fine de la psychologie d'un amour et l'étude du désir
paraissent extrêmement modernes. Comme dans Il Barbiere
di Siviglia de Rossini, l'intrigue et les personnages
sont situés dans le quotidien le plus ordinaire. Comme
Rossini, Donizetti alterne les morceaux "sérieux"
et les scènes où le comique se débride librement. Ainsi
l'Elisir d'amore est-il une œuvre remplie de mélodies
séduisantes et joyeuses entrecoupées de pages où règne
un charme idyllique sentimental et tendre, comme en témoigne
la célèbre cavatine de Nemorino
Una furtiva lagrima.
Liège, ORW, du 17 au 25 janvier |
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La musique anglaise |
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Distante de quelques kilomètres à peine de nos frontières,
l'Angleterre représente pour la plupart des continentaux que
nous sommes un monde lointain et mystérieux. Sur le plan
culturel, de grands noms nous sont familiers mais dans un
domaine tel que celui de la musique, on ignore trop souvent
la générosité créatrice d'un grand nombre de compositeurs
dont l'œuvre mérite bien plus qu'un intérêt condescendant.
Au cours des mois à venir, notre collaboratrice Anne Genette
nous invitera à découvrir, siècle après siècle, l'incroyable
richesse que peut revendiquer l'Angleterre en matière de
musique.
Notre dossier
"Musique anglaise"
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Bruckner à
l'OPL |
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Parmi les neuf symphonies de Bruckner, la Septième
est sans aucun doute celle qui reçut d’emblée
l’accueil le plus enthousiaste et qui valut à
son auteur la reconnaissance la plus large. Bien que dédiée
à Louis II de Bavière, la Septième
symphonie n’en demeure pas moins un hommage
appuyé à Richard Wagner, que Bruckner découvrit
à Munich en 1865 au travers de Tristan et Isolde,
et auquel il voua ensuite une véritable vénération.
En 1882, alors qu’il est occupé à
composer, Bruckner se rend à Bayreuth pour la première
représentation de Parsifal ; il y rencontre
le maître pour la dernière fois. L’année
suivante, ayant appris la mort de Wagner à Venise,
il décide de lui dédier son sublime et poignant
Adagio, dans lequel il intègre deux paires
de tubas wagnériens. La Septième symphonie
sera donnée par l'Orchestre Philharmonique de Liège
placé sous la direction de Louis Langrée.
Le vendredi, elle sera accompagneée de la Symphonie
n°8 "inachevée" de Schubert.
Liège, Salle Philarmonique, le vendredi
24 janvier à 20 heures
Liège,
Salle Philharmonique, le samedi 25 janvier à 15
heures
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Schumann
et Barenboim
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Dans
sa Deuxième symphonie, Schumann
s'est tenu à une tradition nettement classique,
bien plus nettement que dans ses autres oeuvres
symphonique. Il place son oeuvre dans le sillage
de la Symphonie n°41 "Jupiter"
de Mozart et des symphonies de Beethoven. Dans
l'Adagio, on trouve même une citation
du début de la Sonate en trio
de l'Offrande musicale de Johann Sebastian
Bach. Cette symphonie, ainsi que la Deuxième
symphonie de Brahms, nous donnera l'occasion
d'entendre Daniel Barenboim à la tête
du Staatskapelle de Berlin.
Bruxelles,
PBA, le jeudi 23 janvier à 20 heures.
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