Sommaire
Éditorial
À découvrir
Les CD du mois et les choix de nos médiathécaires
Actualités
Á l'opéra et en concert
Dossiers
De qui est-ce ?
Le Web musical
Contenu du site
Recherche sur Travers-sons
La rédaction
|
Pour
rechercher une oeuvre dans
notre base de données musique classique
|
La Médiathèque est
une association qui organise en Communauté française
de Belgique le prêt de 850.000 médias : CD, vidéos,
DVD, CD-Rom.
Nos
collections
Nos
nouveautés
Nos
sélections
Nos
sites locaux
Travers-sons paraît tous les 20 du mois sauf en juillet
et août
Cette page d'actualité est mise à jour le mardi et vendredi.
Ce site est optimisé pour un écran en
800 x 600
|
|
Notre choix : Beethoven |
|
Hormis les Variations Diabelli et les Variations
op.35, largement visitées et revisitées
par de nombreux pianistes, les "petites" variations
de Beethoven attirent sensiblement moins les interprètes
lesquels appréhendent sans doute de se compromettre
en abordant ces oeuvres de jeunesse, injustement considérées,
de ce fait, comme mineures. À l'exception d'un
Alfred Brendel qui a exploré de façon plus
systématique cet univers juvénile, la plupart
des "grands" du piano accrochent, en guise de
complément à leur programme, l'une ou l'autre
de ces variations aux grandes variations de la maturité.
Et pourtant, lorsqu'on découvre ces musiques sous
les doigts d'un musicien-poète tel que Cédric
Tiberghien, on oublie bien vite les imperfections et les
maladresses de l'écriture tant l'intelligence et
la sensibilité de ce jeune pianiste le conduisent
à extraire tout le potentiel expressif contenu
dans ces pages qui acquièrent ainsi leurs lettres
de noblesse.
Suite
du commentaire de Pierre Watillon
|
|
|
Les
Mythes de Midori |
|
Karol
Szymanowski fut le plus grand compositeur polonais de
la première moitié du XXe siècle.
Ses œuvres datant de la Première Guerre mondiale,
comme son triptyqueMythes
pour violon et piano, témoignent
de son goût pour les mythes et la culture méditerranéenne
et proche-orientale ainsi que de l'influence convaincante
de Debussy et de Ravel. Même si Szymanowski dédia
sa partition à son épouse, il aurait tout
aussi bien pu la dédier, comme ses deux concertos
pour violon, au violoniste Paul Kochahski en reconnaissance
de leur amitié mais aussi parce que la collaboration
du musicien et du compositeur ne s'était pas limitée
à la résolution de problème technique.
Les deux hommes avaient joint leurs efforts dans les premiers
stades de la conception pour élaborer une nouvelle
écriture pour le violon.
Bruxelles,
Bozar, le 27 mai à 20 heures
|
|
|
|
|
Concours
Reine Élisabeth 2003 |
|
Et
voilà, le jury a fait son choix, nos douze finalistes
ont été désignés. Commence
maintenant pour eux le séjour dans la Chapelle
Musicale Reine Élisabeth. Pour vous donner une
idée de l'ambiance de cette retraite, nous vous
conseillons de visionner
Les Larmes de Ludovic ou le concerto imposé,
une émission du magazine Strip-tease de la RTBF.
Dans l'isolement de la "Chapelle musicale",
la caméra suit la préparation des douze
finalistes. Comme pour les éliminatoires, nous
suivrons de près le concours et vous donnerons
toutes les informations nécessaires. Notre petit
plus sera la possibilité offerte au large public
d'amateurs et de curieux du Concours de se familiariser
et de préparer les partitions présentées
par les candidats lors des finales ou de prolonger ensuite
les découvertes ou les révélations
de répertoire grâce à une très
large vidéo et discographie.
Bruxelles,
du 8 mai au 7 juin
Notre dossier "Concours Reine Élisabeth"
Ordre
de passage des finalistes
|
|
|
Khovantchina |
|
Khovantchina,
drame populaire en cinq actes de Moussorgski, décrit
l’affrontement de 1682 entre le tsar Pierre le Grand
et les factions opposées à sa politique
réformatrice : les "Vieux-Croyants”,
hostiles à la nouvelle orthodoxie qu'il imposait,
et ses propres tireurs d’élite, les Streltsy,
dévoués à leur chef Ivan Khovanski.
Une première audition de la Khovantchina
donne l'impression singulière d'une partition tumultueuse
et désordonnée, résultat d'une accumulation
de matériaux employés à l'état
brut : suite ininterrompue de monologues véhéments,
de prophéties incohérentes et de duos passionnés
où s'expriment quelques personnages livrés
à eux-mêmes, encadrés par d'admirables
chœurs... En fait, le principe majeur de Moussorgski
est le refus de toute théâtralité
conventionnelle : la Khovantchina
est plus une œuvre d'atmosphère qu'une représentation
dramatique active, et les figures majestueuses, rayonnantes
de Dossiphéi ou de Marpha, comme les grandes scènes
collectives, sont l'héritage d'un art de fresque
ou d'enluminure typiquement russe.
Bruxelles,
la Monnaie, du 23 mai au 3 juin
|
|
|
|