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et août
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Notre
choix : Prokofiev |
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La
Suite Scythe, op. 20 (1914) était originellement
un ballet, Ala et Lolly, commandé par
Diaghilev pour les Ballets russes. Oeuvre de jeunesse,
affirmant une maîtrise remarquable, la Suite
Scythe s'inscrit dans un courant moderniste issu
de Stravinski et de l'impressionnisme français.
Réalisé en 1938 par Serge Eisenstein, un
des plus grands noms du cinéma soviétique,
devenu le symbole d'un style et d'une époque, Alexandre
Nevski retrace l'histoire du prince russe du XIIIe
siècle, en lutte successivement contre deux envahisseurs
: les Tartares, et les Chevaliers de l'Ordre Teutonique.
À partir de l'ensemble de sa musique, Prokofiev
fit une cantate pour soliste, orchestre et chœur,
condensant la partition originale, mais en gardant les
épisodes les plus importants.
Suite
du commentaire de Benoit van Langenhove
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Les
Adieux par Anima Eterna |
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Le
prince Nicolaus Esterhazy séjournait l'été
à Esterhaz dans un nouveau château qu'il
faisait alors construire. La cour devait l'y suivre. Le
château, construit et aménagé à
moitié seulement, n'était pas assez vaste
pour tant de gens. On dut donc faire des choix, et les
musiciens devant accompagner le prince à Esterhaz
se virent privés pour quelques mois de la compagnie
de leur femme. Contre son habitude, le prince résolut
de prolonger de plusieurs semaines son séjour à
Esterhaz. Pour marquer l'impatience des musiciens à
retrouver leurs foyers, Haydn eut l'idée d'une
symphonie (connue sous le nom de Symphonie
des adieux) dans laquelle les instruments
se taisent les uns après les autres. Une autre
version raconte que le Prince Esterhazy voulait renvoyer
son orchestre et ne garder que quelques violons. Haydn
présenta la Symphonie des adieux pour
faire sentir ce que deviendrait la musique avec seulement
quelques violons.
Bruxelles,
Conservatoire, mardi 10 juin à 20 heures
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Concours
Reine Élisabeth 2003 |
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Et
voilà, le jury a fait son choix, nos douze finalistes
ont été classés. Le brillant pianiste
allemand Severin von Eckardstein a rafflé tous
les prix (1er lauréat, Prix du public de la RTBF,
Prix du public de la VRT). Commence maintenant pour eux
l'ultime marathon des concerts de l'après concours.
À l'heure où nous écrivons ces lignes,
peu d'informations sont disponibles quant au programme
joué, c'est pourquoi nous vous proposons des liens
avec les sites des différents organisateurs. Les
six lauréats non classés viendront à
la Monnaie donner un récital sur le temps de midi
(du 11 au 13 et du 18 au 20 juin). Roberto Giordano, Kazumasa
Matsumoto et Jin Ju, accompagnés par l'Orchestre
Philharmonique de Liège dirigé par Jean
Pierre Haeck, proposeront leurs concertos à Verviers
(le 14), Liège (le 17) et Bruxelles (le 16) tandis
que Severin von Eckardstein, Wen-Yu Shen et Dong Hyek
Lim, accompagnés par le Vlaamse Radio Orkest et
Yoel Levi, présenteront leurs concertos à
Leuven (le 18), Bruxelles (le 19), Namur (le 21), Brugge
(le 22) et Mons (le 25).
Résultats
du Concours de piano 2003
Le
site du concours Reine Élisabeth
Le site de l'Orchestre Philharmonique de Liège
Le site du Vlaams Radio Orkest
Le
site de la Monnaie
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La
Vida breve |
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Écrite
à toute vitesse avec la collaboration d'un des
principaux auteurs de livrets pour zarzuela, La Vida
breve est un opéra vériste espagnol.
Il fut composé d'abord en un acte, puis remanié
en deux actes de la même manière que I
Pagliacci qui est un opéra en deux actes sans
interruption. À une époque où l'Europe
était encore à construire, l'apport de Manuel
de Falla à l'opéra ne fut pas apprécié
à sa juste valeur. L'Espagne "mystique et
mystérieuse" était encore très
refermée sur elle-même et sujette à
caricature ou, en termes plus élégants,
réduite à une vision de "carte postale".
La
suite du dossier
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