Édition du 10 juin 2003

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Notre choix : Prokofiev

La Suite Scythe, op. 20 (1914) était originellement un ballet, Ala et Lolly, commandé par Diaghilev pour les Ballets russes. Oeuvre de jeunesse, affirmant une maîtrise remarquable, la Suite Scythe s'inscrit dans un courant moderniste issu de Stravinski et de l'impressionnisme français. Réalisé en 1938 par Serge Eisenstein, un des plus grands noms du cinéma soviétique, devenu le symbole d'un style et d'une époque, Alexandre Nevski retrace l'histoire du prince russe du XIIIe siècle, en lutte successivement contre deux envahisseurs : les Tartares, et les Chevaliers de l'Ordre Teutonique. À partir de l'ensemble de sa musique, Prokofiev fit une cantate pour soliste, orchestre et chœur, condensant la partition originale, mais en gardant les épisodes les plus importants.

Suite du commentaire de Benoit van Langenhove

Les Adieux par Anima Eterna

Le prince Nicolaus Esterhazy séjournait l'été à Esterhaz dans un nouveau château qu'il faisait alors construire. La cour devait l'y suivre. Le château, construit et aménagé à moitié seulement, n'était pas assez vaste pour tant de gens. On dut donc faire des choix, et les musiciens devant accompagner le prince à Esterhaz se virent privés pour quelques mois de la compagnie de leur femme. Contre son habitude, le prince résolut de prolonger de plusieurs semaines son séjour à Esterhaz. Pour marquer l'impatience des musiciens à retrouver leurs foyers, Haydn eut l'idée d'une symphonie (connue sous le nom de Symphonie des adieux) dans laquelle les instruments se taisent les uns après les autres. Une autre version raconte que le Prince Esterhazy voulait renvoyer son orchestre et ne garder que quelques violons. Haydn présenta la Symphonie des adieux pour faire sentir ce que deviendrait la musique avec seulement quelques violons.

Bruxelles, Conservatoire, mardi 10 juin à 20 heures

 

Concours Reine Élisabeth 2003

Et voilà, le jury a fait son choix, nos douze finalistes ont été classés. Le brillant pianiste allemand Severin von Eckardstein a rafflé tous les prix (1er lauréat, Prix du public de la RTBF, Prix du public de la VRT). Commence maintenant pour eux l'ultime marathon des concerts de l'après concours. À l'heure où nous écrivons ces lignes, peu d'informations sont disponibles quant au programme joué, c'est pourquoi nous vous proposons des liens avec les sites des différents organisateurs. Les six lauréats non classés viendront à la Monnaie donner un récital sur le temps de midi (du 11 au 13 et du 18 au 20 juin). Roberto Giordano, Kazumasa Matsumoto et Jin Ju, accompagnés par l'Orchestre Philharmonique de Liège dirigé par Jean Pierre Haeck, proposeront leurs concertos à Verviers (le 14), Liège (le 17) et Bruxelles (le 16) tandis que Severin von Eckardstein, Wen-Yu Shen et Dong Hyek Lim, accompagnés par le Vlaamse Radio Orkest et Yoel Levi, présenteront leurs concertos à Leuven (le 18), Bruxelles (le 19), Namur (le 21), Brugge (le 22) et Mons (le 25).

Résultats du Concours de piano 2003
Le site du concours Reine Élisabeth
Le site de l'Orchestre Philharmonique de Liège
Le site du Vlaams Radio Orkest
Le site de la Monnaie

La Vida breve

Écrite à toute vitesse avec la collaboration d'un des principaux auteurs de livrets pour zarzuela, La Vida breve est un opéra vériste espagnol. Il fut composé d'abord en un acte, puis remanié en deux actes de la même manière que I Pagliacci qui est un opéra en deux actes sans interruption. À une époque où l'Europe était encore à construire, l'apport de Manuel de Falla à l'opéra ne fut pas apprécié à sa juste valeur. L'Espagne "mystique et mystérieuse" était encore très refermée sur elle-même et sujette à caricature ou, en termes plus élégants, réduite à une vision de "carte postale".

La suite du dossier

 
 


 

 

 

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