Édition du 24 juin 2003

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Notre choix : Dvorak

Parmi la quinzaine de quatuors à cordes qu'écrivit Dvorak, les Huitième et Neuvième marquent une étape importante dans l'affirmation d'un style personnel chez leur auteur. Sans vouloir en analyser chaque mouvement, on notera toutefois la beauté du matériau mélodique, volontiers élégiaque, tendre et délicat, solidement encadré de vigoureux épisodes polyphoniques. L'autonomie accordée aux différents instruments confère à ces pages un caractère harmonieux, épanoui dont le cours paisible mène à quelque joyeuse polka qui semble résolument tourner le dos aux tracas de ce monde.

Suite du commentaire de Pierre Watillon

Belshazzar

Bien qu'il ait toutes les peines à s'imposer dans le répertoire courant, Belshazzar fait indubitablement partie des oratorios dramatiques les plus tendus et les plus construits de Handel. Une fois encore, l'envergure des thèmes - l'analyse spectrale de trois personnages hors pair et la méditation grave sur la fin d'une civilisation (Babylone) a permis au compositeur de porter haut son génie. Belshazzar s'impose sur le plan esthétique par son mélange de tragédie grecque, de déploration lyrique et de narration épique et sur le plan musical par l'extraordinaire invention musicale (symbolique tonale, personnalisation des choeurs, unité générale obtenue par un jeu de leitmotiv avant la lettre.

Bruxelles, Bozar, du 28 juin au 2 juillet

 

Été musical d'Horrues 2003

Ce vendredi, le Festival d'Horrues propose, lors d'une Nuit des jeunes pianistes, trois récitals de quarante-cinq minutes. Cédric Tiberghien, Stéphane De May et Mathilde Carré se succéderont dans des pièces allant de Beethoven à Prokofiev et de Debussy à Granados. Vous aurez même droit à la création mondiale d'un oeuvre du compositeur français Stéphane Blet.

Le programme de l'Été musical d'Horrues

Die Walküre à Liège

L'Or du Rhin se déroulait entre dieux, géants et nains, autour du fleuve primordial, parmi les forces de la nature, l'eau et le feu. Dans La Walkyrie, Siegmund et Sieglinde se présentent à nous comme un couple humain, avec un cœur ardent, un sang chaud, une vie menacée. Le premier acte verra la joie de Siegmund, le second sa mort, le troisième nous montrera Wotan soumis comme un homme à la fatalité et Brünnhilde privée de son essence divine en punition de sa désobéissance. La Walkyrie culmine dans trois grandes scènes lyriques : au premier acte, le duo d'amour de Siegmund et de Sieglinde, dans le clair de lune d'une nuit de printemps, au second, l'apparition de la Walkyrie venant annoncer à Siegmund sa mort prochaine, au troisième, le déchirement du cœur paternel, de Wotan et ses adieux à Brünnhilde. Mais le tube absolu est évidemment la Chevauchée des Walkyries qui ouvre le dernier acte.

Liège, ORW, du 15 au 27 juin

 
 


 

 

 

 

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