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association qui organise en Communauté française de Belgique le prêt de
800.000 médias
: CD, vidéos, cédéroms, DVD, musicassettes.
Travers-sons paraît tous les
20 du mois.
Les actualités de cette page sont mises à jour le mardi et le
vendredi.
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Notre choix :
Vaughan-Williams |
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Page monumentale, s'il en est, la
Quatrième symphonie de Vaughan-Williams trouve avec Richard
Hickox le chef idéal, capable de maîtriser les quatre mouvements
d'une oeuvre qui ne néglige ni les dissonances, ni les
hardiesses rythmiques et dont la densité polyphonique impose une
très grande clarté. Toutes ces qualités sont réunies dans cette
version triomphante où éclairages et changements de climats sont
superbement mis en évidence par une direction particulièrement
inspirée.
Suite du
commentaire de Pierre Watillon
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Gardiner et la Missa Solemnis |
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Dès sa naissance, la
Missa
Solemnis en
ré majeur, op.126
marque, à l'aube du romantisme, l'abdication du
langage rituel propre à l'ère polyphonique au bénéfice d'une
expression directe des sentiments. Autant
que la divinité, Beethoven y célèbre l'homme avec ses
détresses et ses joies. Oeuvre
considérable par sa proportion, son appareil orchestral et
vocal somptueux, la Missa Solemnis sera donnée par
John Elliot Gardiner à la tête de son Orchestre
Révolutionnaire et Romantique.
Bruxelles, PBA, le mercredi 18
septembre à 20h00 |
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Elektra à La Monnaie |
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Elektra marque
la plus grande avancée
de
Richard Strauss dans la musique moderne. Le musicien écrit
ici sa partition la plus audacieuse (avec des passages allant de
la polytonalité à l’atonalité) et sans doute la plus dramatique.
Car l’opéra, dont l’action s’intensifie dans un crescendo
habilement construit est d’une violence démesurée. Strauss avouait
lui-même qu’Elektra représentait « l’extrême limite de la capacité
d’audition des oreilles d’aujourd’hui [1909] ».
La
Monnaie, du 17 septembre au 6 octobre 2002
Une introduction à Elektra.
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