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et août
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Notre
choix : Stabat Mater |
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Irradiant
une douce lumière, ce disque nous comble de joie
car il nous donne l'occasion de découvrir trois
pages bouleversantes dans une interprétation dont
on voit mal comment elle pourrait être surpassée.
Nous sommes, bien sûr, en pleine découverte
car aucun de ces Stabat Mater n'a fait l'objet
d'un enregistrement à ce jour et ces "premières"
bénéficient de la distribution vocale la
plus homogène qui soit autant que d'un support
instrumental on ne peut plus adéquat.
Suite
du commentaire de Pierre Watillon
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Josquin
des Prés et Pierre de la Rue
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Le
"Laudantes Consort", sous la direction de Guy
Janssens, présentera une sélection de motets
de Josquin des Prés ainsi que la Missa Ave
Sanctissima Maria et un motet homonyme de Pierre
de la Rue. Ces deux maîtres de la Polyphonie, originaires
tous deux du Hainaut, ont œuvré aux confins
des quinzième et seizième siècles.
Leur réputation était grande comme en témoignent
la diffusion de leurs oeuvres et les sollicitations dont
ils furent l’objet de la part des grandes "chapelles"
de leur temps, italiennes, espagnoles ou bourguignonne.
Leur maîtrise du contrepoint est éblouissante.
La messe de Pierre de la Rue, construite toute en canon,
en est un exemple remarquable et s’inscrit sans
hésiter au nombre des chefs d’œuvres
à découvrir. La qualité de cet excellent
ensemble vocal de douze chanteurs et la direction attentive
et inspirée de leur chef auront tout pour nous
en convaincre.Renseignements 02 241 43 09
Bruxelles,
Eglise du Béguinage, le mardi 12 août à
20h30
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Joseph
Jongen |
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La
musique de chambre de Joseph Jongen sort enfin de l'ombre.
Bien sûr, le cinquantième anniversaire de
la mort du compositeur, né à Liège
et Directeur du Conservatoire de Bruxelles de 1925 à
1939, n'est pas étranger au regain d'intérêt
pour Jongen mais en outre nous sommes à une époque
qui se soustrait enfin au "terrorisme culturel"
qui frappa d'excommunication, des années durant,
une génération de créateurs à
qui on reprochait d'être de leur temps plutôt
que "d'avoir anticipé les changements esthétiques
du début du XXe siècle". Il est vrai,
l'oeuvre de Jongen se nourrit sagement de la façon
de faire des compositeurs français du début
du siècle mais elle en retient les vertus cardinales
et ne cède jamais à une quelconque facilité.
Le style est raffiné, élégant et
plonge l'auditeur dans un univers quelque peu onirique
qui se dégage librement sur un cadre architectural
rigoureux.
Stavelot,
Église St-Sebastien et Abbaye, les 10 et 11 août
à 20h15
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Debussy
dans les serres de l'Orientalisme |
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Tout
prédisposait Debussy à succomber aux charmes
de l’Orient. Sa passion pour l’ailleurs, qui
le porte aussi naturellement vers un Orient mythique que
vers une Espagne de rêve. Sa curiosité artistique
qu’il nourrit dans de nombreuses manifestations
culturelles variées. Son langage musical, où
peut s’intégrer sans heurts la gamme pentatonique
et les ambiguïtés modales orientales. Mais
contrairement à ses aînés qui revêtaient
leur langage foncièrement occidental de quelques
oripeaux exotiques, Debussy tente d’opérer
une véritable fusion stylistique. Et cette rencontre
avec une tradition aussi puissante que la tradition occidentale
mais codifiée autrement donne au compositeur français
l’occasion de rompre avec les éléments
traditionnels de cette dernière.
Lire
la suite de notre dossier...
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Festival
des Midis-Minimes
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Le
Septuor op.20 resta longtemps l'oeuvre
la plus populaire de Beethoven. Par sa simplicité
mélodique, par la richesse de sa palette
sonore et la clarté de forme inscrite dans
une architecture solide. Cas rarissime, Beethoven
en assura lui-même une transcription et
la publia sous le nom de Trio
pour piano, clarinette et violon op.38.
Destinée (et dédiée)
au médecin viennois Johann Adam Schmidt,
cette transcription exprimait la gratitude du
compositeur envers le praticien qui le soignait.
L'instrumentation et les exigences techniques
ont été adaptée spécifiquement
au talent musical de chacun des membres de la
famille du médecin. Cette partition sera
donnée dans le cadre du Festival des Midis-Minimes
par Benjamin
Dieltjens, clarinette, François
Deppe violoncelle et Kimiko Nishi pianoforte.
Notre
dossier "Festival des Midis-Minimes"
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